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Pour un référendum sur l'avenir de la Poste
24/09/2008 12:23
Le 23 septembre 2008
COMMUNIQUE DE PRESSE
Ne vendez pas La Poste aux enchères !
La logique de démantèlement du service public français, voulu et imposé par Bruxelles avec hélas l’aval des gouvernements successifs de gauche comme de droite, dépasse toutes les bornes avec le projet de privatisation rampante de La Poste.
Chacun sait, chacun constate au quotidien, que le service public postal joue dans notre pays un rôle de premier plan dans l’aménagement du territoire de proximité, la continuité sociale et l’égalité des usagers devant un service important.
Les spécificités de La Poste en France, du fait :
de l’histoire,
du maillage territorial très dense du réseau postal
et du symbole très fort qu’il représente pour la relation entre les citoyens et l’Etat-nation, rendent définitivement insolubles ses missions de service public dans une mise en concurrence dogmatique, presque partout synonyme de dégradation de la qualité des prestations, du renchérissement des tarifs et de désengagement territorial. Sait-on par exemple, que le pays le plus libéral au monde, les Etats-Unis, ont maintenu un service postal intégralement public ?
C’est pourquoi Debout la République décide aujourd’hui de s’engager pour la pérennité de l’entreprise postale à 100% publique et de signer l’appel à la mobilisation pour l’organisation d’un référendum sur son avenir. DLR appelle tous ses adhérents, sympathisants et amis, à signer et faire signer cette pétition qui, si elle atteint les seuils requis, ouvrira la voie à un référendum d’initiative populaire sur la question.
Bien évidemment, le maintien du statut public n’interdit pas, comme cela est d’ailleurs déjà le cas depuis des années, à la Poste de se moderniser. Il faudra poursuivre cette politique tout en adossant l’entreprise à la Caisse des Dépôts et Consignations pour trouver des financements aujourd’hui incertains.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député gaulliste non-inscrit de l’Essonne Président de Debout la République
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Afghanistan : les fables politiciennes ne résisteront pas à la réalité de l'histoire
23/09/2008 12:30
Je sors à l’instant du débat sur l’Afghanistan à l’Assemblée Nationale.
J’ai voté contre le maintien de nos troupes dans ce pays car, bien évidemment, je ne peux pas céder à ce chantage hypocrite au patriotisme et à l’union nationale, relayé tout l’après-midi par les orateurs de la majorité UMP, Nouveau-Centre et par le Premier Ministre lui-même.
Les raisons pour lesquelles, comme par hasard, les Députés non-inscrits ont été privés du petit temps de parole dont ils disposent habituellement pour chaque débat, n’en sont que plus limpides et flagrantes : il ne faut surtout pas dire les choses telles qu’elles sont !
Comment en effet accepter cette gigantesque manipulation des esprits qui voudraient faire croire aux parlementaires comme à l’opinion, que nous sommes aujourd’hui engagés dans une croisade efficace contre le terrorisme mondial en envoyant nos soldats dans un combat meurtrier et de l’aveu de beaucoup perdu d’avance à cause de la stratégie erronée de l’OTAN ?
Autant j’étais favorable à la présence française en 2001 pour chasser les talibans du pouvoir, autant aujourd’hui je refuse la décision du Président de la République de renforcer nos troupes dans ce qui apparaît comme une escalade militaire conduisant tout droit à l’impasse et à l’échec.
Le discours du Premier Ministre était d’ailleurs en demi teinte puisqu’il a reconnu que les bombardements aériens de l’OTAN faisaient basculer toujours plus d’Afghans du côté d’une insurrection dominée par les talibans, sans compter bien évidemment l’emprise des trafiquants de drogue sur le pays.
En vérité, les Français comprennent bien que le gouvernement leur raconte des histoires. Car s’il faut bien sûr lutter contre le terrorisme, attaquons-nous donc à ses causes réelles et ne faisons pas semblant de combattre ses effets, au risque de les alimenter. Car non seulement la stratégie est mauvaise mais de surcroît les alliés sont incapables d’y mettre les moyens nécessaires.
Les Russes ont du abandonner l’Afghanistan après y avoir engagé plus de 150 000 hommes alors que la force internationale d’aujourd’hui n’en réunit que 50 000, de plus de 40 nationalités.
S’attaquer aux causes du terrorisme c’est bien évidemment revoir la stratégie de l’OTAN sur place comme l’a d’ailleurs demandé l’ONU en confortant l’armée afghane. C’est ensuite privilégier dans la mesure du possible la reconstruction économique du pays en s’attaquant vraiment aux puissances de la drogue. C’est enfin privilégier une approche politique en liaison avec les pays riverains, notamment le Pakistan, pour couper les Talibans de leurs bases arrière dans les zones tribales.
D’une manière générale ce débat dévoile la difficulté de faire vivre dans notre pays une démocratie adulte fondée sur des informations fiables. Après les cruelles guerres coloniales de la IVème République, on aurait pu croire pourtant que des erreurs et des tentatives de manipulation aussi grossières appartenaient au passé révolu de la classe politique française !
Malheureusement pour nos troupes sur place, dont il faut saluer le courage et l’abnégation, la terrible réalité de l’histoire toujours en marche risque de rattraper très vite les fables politiciennes de cet après-midi.
Nicolas Dupont Aignan, le 22 septembre 2008
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La volonté populaire une nouvelle fois bafouée par l'UMP et Le PS
22/09/2008 18:40
Ce jour, devait être une journée de communion entre un peuple et ses représentants à l'Assemblée Nationale. Il en aura été autrement. Les députés avaient à se prononcer sur le maintien ou le retrait de nos armées en territoire Afghan. Ces élus du peuple se devaient de se conformer à la volonté populaire. Quelle est - elle ? Un récent sondage estimait que 62 % des Français étaient contre le maintien de nos soldats en Afghanistan. Et que croyait - vous qu'il arriva ? Le contraire de l'expression populaire. L'UMP, parti de godillots, a suivi comme prévu l'injonction gouvernementale, ou plutôt les désirs présidentiels. Mais là où cela devient cocasse, c'est le choix des députés socialistes. Ils ont voté pour le maintien... C'est a n'y rien comprendre ! Ils prennent des positions contre mais votent le contraire. Dés lors quelle crédibilité peuvent - ils encore avoir aux yeux du peuple qu'ils ont trahis ? Malgré le vote des communistes et des verts pour le retrait de nos soldats, nous pouvons nous poser la question de savoir s'il existe encore une opposition dans ce pays ? A ceci je répondrai oui, mais plus dans le sens classique gauche - droite que l'on entendait juqu'ici. Non, aujourd'hui ce clivage des partis s'exprime entre ceux qui vont à l'encontre de la volonté populaire (UMP, PS, NC) et ceux qui lui reste fidèle. DLR est de ceux - là ! Notre député, n'a pas hésité une seule seconde à voter contre le maintien de nos troupes dans une région où la France n'a rien à faire si ce n'est se décrédibiliser aux yeux du monde et s'humilier aux pieds des Américains, bref y perdre son honneur et son âme. A ce jour, le fossé entre le PS et le peuple s'est définitivement creusé. Les Français savent maintenant qu'ils n'auront rien à attendre de ces donneurs de leçons, et que le salut de la France ne passera pas par eux.
PW
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216ème anniversaire de la bataille de Valmy
19/09/2008 21:46
Ce 20 septembre 2008, nous commémorons le 216ème anniversaires de la Bataille de Valmy, première grande victoire des armées de la République Française face à une coalition européenne. Cette victoire a permis le maintien de la république et l'établissement des idéaux de la Révolution : liberté, égalité, fraternité. A l'heure où tous ces acquis sont durement remis en question par une nouvelle coalition européenne, plus sournoise que la précédente, il est bon de se remémorer le sacrifice fait par les soldats de la révolution, de les prendre également en exemple afin de résister face à un nouveau péril : l'Europe ultra - libérale établie à Bruxelles.
PW
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Mais dans quelle république vivons - nous donc ?
19/09/2008 14:11
Etrange République où désormais les élus de la nation réfractaires à la logique de camps et d’appareils, sont punis par la conférence des présidents de l’Assemblée nationale qui décide de les priver de temps de parole lors des débats cruciaux sur l’Europe ou la politique étrangère de la France !
Il est en effet de tradition à chaque débat, lors de l’examen de chaque projet de loi, de réserver aux députés non-inscrits cinq minutes de temps de parole (à charge pour eux de se les partager). Cinq minutes, c’est peu, mais c’est ce qui a tout de même permis, par exemple lors de la déclaration de politique générale du gouvernement Fillon, à François Bayrou comme à moi-même, de nous exprimer sur les sujets importants. Or, aujourd’hui, même ces cinq minutes sont insupportables à ceux qui nous gouvernent…
Ainsi, il y a deux jours, est tombée cette décision-couperet, qui est d’autant plus choquante qu’elle s’applique à un débat (précédant un vote) sur la poursuite d’une action de guerre de notre armée hors de ses frontières. Choquante, mais aussi contreproductive pour les dirigeants de la majorité et le gouvernement qui, à propos d’une guerre de plus en plus contestée dans l’opinion publique, auraient eu tout intérêt à ouvrir en grand les portes et les fenêtres du Parlement, à laisser s’exprimer le plus grand nombre possible des sensibilités représentées dans l’hémicycle…
Sur les deux sujets de l’Europe et de la politique étrangère, où l’importance des enjeux et des défis n’est plus à démontrer, on entend ainsi restreindre la vocation représentative et délibérative du temple de notre République, l’Assemblée nationale. Quel gigantesque paradoxe, qui constitue à l’évidence le symptôme le plus visible de la maladie de langueur qui fait dépérir, petit à petit, la démocratie française.
Mais puisque les médias ne sont pas (ou pas encore ?) aux ordres du pouvoir établi, j’ai envoyé aujourd’hui à la presse un communiqué (http://www.debout-la-republique.fr/DLR-s-invite-dans-le-debat.html) qui, je l’espère, rencontrera quelque écho et touchera ainsi le plus grand nombre de nos concitoyens.
Face à la tentation de la lassitude et du découragement, qui saisit parfois celles et ceux qui ne se résignent pas à laisser aller les choses à vau-l’eau, il est nécessaire de garder le cap et surtout d’imaginer et proposer les orientations qui permettraient à la France d’aller moins mal. Mercredi prochain, 24 septembre, je présenterai ainsi plusieurs mesures pour relancer l’économie française et la protéger le plus possible de la tempête financière mondiale.
Nicolas Dupont Aignan, le 18/9/2008
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